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Dépôt d’un brevet provisoire pour le traitement du Lithium et lancement d’une étude technique pour le projet d’usine

Communiqués de Presse

Montréal – 7 mars 2023 – La corporation Éco-Minière St-Georges (CSE : SX) (OTCQB : SXOOF)(FSE 85G1) a le plaisir d’annoncer qu’elle a déposé un brevet provisoire couvrant une nouvelle percéedans les technologies de traitement du spodumène et de production d’hydroxyde de lithium Faits saillants 92 % de l’acide nitrique est recyclé dans le traitement […]

Dépôt d’un brevet provisoire pour le traitement du Lithium et lancement d’une étude technique pour le projet d’usine

Montréal – 7 mars 2023 – La corporation Éco-Minière St-Georges (CSE : SX) (OTCQB : SXOOF)
(FSE 85G1) a le plaisir d’annoncer qu’elle a déposé un brevet provisoire couvrant une nouvelle percée
dans les technologies de traitement du spodumène et de production d’hydroxyde de lithium

Faits saillants

  • 92 % de l’acide nitrique est recyclé dans le traitement hydrométallurgique, ce qui permet de
    produire du lithium sans déchets

  • Réaction en continu dans une solution saturée produisant des cristaux de lithium sans apport
    d’énergie

  • Économies importantes

  • Récupération de 98 % du lithium dans le spodumène avec un cristal d’hydroxyde de lithium pur à
    99 %

  • Amélioration de la possibilité de traiter plusieurs sources de matières premières à l’aide du même
    procédé

  • Lancement de l’étude technique sur l’usine de production de lithium avec WSP

  • Discussions en cours avec trois clients potentiels pour le concentré de spodumène comme matière
    première.

Depuis quelques années, l’équipe métallurgique de St-Georges travaille à l’élaboration d’un procédé utilisant des matériaux provenant de nombreuses sources d’exploitation qui permet de produire de l’hydroxyde de lithium et du lithium métal à partir de concentrés de spodumène de roches massives. Notre approche exclusive permet de recirculer l’acide nitrique utilisé dans le processus ou de l’amalgamer aux sous-produits comme l’engrais. Comme la majeure partie de l’acide est recyclée, ce qui reste dans les déchets est négligeable et ne nécessite donc que peu ou pas de neutralisation avant d’être vendu aux producteurs de ciment et d’asphalte. Ainsi, le procédé n’engendre pas de résidus et permet de monétiser les matières premières. Il s’agit donc de l’un des processus les plus écologiques actuellement sur le marché.

Les essais ont démontré qu’en moyenne 92 % de l’acide nitrique utilisé dans notre procédé est recyclé. Les métallurgistes de la société pensent qu’avec les essais en cours, ce chiffre pourrait être amélioré jusqu’à une limite théorique de 95 % en réduisant le niveau d’humidité au cours des étapes préalables du procédé.

D’autres améliorations apportées à divers aspects de la technologie de traitement représentent une importante économie d’énergie dans la phase de prétraitement du procédé ainsi que dans la production d’hydroxyde de lithium pour les batteries et de lithium métal à partir d’autres sources de roches massives qui nécessitent traditionnellement un apport important de chaleur et d’énergie pour séparer les différent cristaux de minéraux. Cependant, les économies les plus importantes proviennent du fait que St-Georges peut produire de l’hydroxyde de lithium pur à 99,99 % en une seule étape après un nouveau traitement du lithium en solution par l’utilisation d’une méthode d’électrofilage. On évite ainsi l’expédition de concentrés de lithium à une tierce partie pour le raffinage. Cette technologie offre également une solution pour les ressources en roches massives en Amérique du Nord.

Il convient de souligner que cette technologie peut également être utilisée avec le lépidolite, la pétalite et la zinnwaldite en tirant parti des améliorations apportées au processus de calcination. Cet aspect a été intégré à la présente demande de brevet.

Utilisations dans le recyclage de batteries

La technologie a aussi été testée avec des batteries usagées au lithium et au lithium-fer-phosphate, ce qui a permis d’apporter de nouvelles améliorations et de réduire les coûts de manière importante. La récupération du minerai stratégique et la viabilité commerciale du procédé s’en trouvent également améliorées.

« (…) Je pense que ce procédé permet de combler le fossé entre les saumures lithifières de bonne qualité et les ressources de roches massives disponibles à travers le monde. Le Canada a déployé des efforts et des investissements considérables, mais n’a pas encore trouvé de solution viable. Voilà pourquoi je me réjouis des progrès de notre équipe. Nous pensons avoir trouvé la solution pour libérer les ressources en lithium de roches massives de l’Amérique du Nord. Cela dit, nous estimons être un complément de l’industrie et nous nous réjouissons de travailler avec nos collègues pour faire progresser les projets relatifs au lithium et répondre à la demande croissante. Personnellement, je pense que les ressources doivent être évaluées en fonction de leur richesse et de leur technologie. Des milliards de dollars d’économies sont possibles en combinant les bonnes options (…)», a indiqué Enrico Di Cesare, chef de la direction de Métallurgie St-Georges.

« (…) Jusqu’à présent, les développeurs de projets de lithium et les producteurs de concentrés de spodumène nous voyaient probablement comme un des nouveaux procédés utilisant un mélange d’acides différent et quelques autres tours de passe-passe (…) À l’avenir, il sera difficile pour quiconque planifie un projet de production d’ignorer les économies potentielles liées à la construction et à l’exploitation d’une usine qui utilise peu d’énergie (…) Une fois la réaction amorcée, nul besoin d’électrolyse ni de chaleur supplémentaire; la solution saturée produit des cristaux de lithium tant que l’on ajoute de la matière première (…) Je ne peux pas imaginer une technologie plus simple à utiliser (…)», a déclaré Frank Dumas, chef des opérations de la corporation Éco-Minière St-Georges.

Usine de traitement du lithium

La corporation ayant maintenant terminé l’examen des concepts d’ingénierie soutenant la conception et la construction d’une usine hybride d’hydroxyde de lithium et de lithium métal, St-Georges a retenu les services de WSP pour modéliser le procédé et établir le coût en capital associé à l’usine de technologie chimiques et métallurgique.

Nous informerons les actionnaires dès que l’étude sera terminée.

Accords sur les matières premières à l’étude

St-Georges attend présentement la livraison de 3 cargaisons différentes d’environ 200 kg chacune de concentrés de spodumène provenant de sociétés exploitant des mines de spodumène dans des pays du sud de l’Afrique. La société traitera la matière reçue et utilisera les données obtenues pour négocier un accord équitable de partage des bénéfices avec les producteurs de concentrés.

De plus, la corporation est en pourparlers avec plusieurs producteurs, développeurs et explorateurs de minéraux pour obtenir du concentré de spodumène. Des mises à jour seront fournies au fur et à mesure de l’évolution de la situation.

Développements concernant le nickel et le chrome

Les métallurgistes de St-Georges ont reçu les résultats des essais indépendants supplémentaires effectués auprès de l’une de ses installations sous contrat en Ontario dans le cadre de ses travaux de recherche et de développement sur le nickel et le chrome.

La corporation a produit de l’acier inoxydable en une seule étape à partir de matériaux obtenus de
batteries usagées et de nickel provenant de ressources minérales.

St-Georges développe sans cesse des solutions sur mesure pour le recyclage de différentes batteries.
Les
projets suivants sont maintenant terminés :

  • Procédé de lithium à base de spodumène qui fonctionne avec des batteries lithium-ion et
    permet de combiner efficacement les ressources minérales et celles provenant du recyclage de
    batteries, sans résidus ni empreinte de production.

  • Des batteries alcalines ont été optimisées pour les engrais. De nouveaux résultats démontrent
    qu’elles peuvent être converties en ferromanganèse grâce à l’utilisation de ressources de carbone
    renouvelables comme les résidus de carbonisation.

  • Des batteries au nickel-cadmium ont été converties avec succès en ferronickel et en acier
    inoxydable.

En plus des initiatives de recyclage de batteries, cette optimisation constitue une importante amélioration et justifie la poursuite de travaux avec nos ressources et des ressources complémentaires comme le chrome.

Tous les essais ont été effectués par des laboratoires indépendants.

Des travaux sont également en cours pour trouver d’autres options hydrométallurgiques possiblement plus efficaces dans différentes régions, par exemple en Italie avec le partenaire potentiel de la société, Arabat, qui utilise des écorces d’orange et d’autres sous-produits de la production de jus d’orange.

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AU NOM DU CONSEIL D’ADMINISTRATION

“Frank Dumas”
FRANK DUMAS

Administrateur, et Chef des opérations

À propos de la corporation Éco-Minière St-Georges

St-Georges développe de nouvelles technologies pour résoudre certains des problèmes environnementaux les plus courants dans le secteur minier, notamment la récupération des métaux et le recyclage complet des batteries. La corporation explore pour le nickel et les ÉGP sur ses projets Manicouagan et Julie sur la Côte-Nord du Québec, et détient plusieurs projets d’exploration minière en Islande, dont le projet aurifère Thor. La corporation est basée à Montréal et les actions sont cotée en bourse sur le CSE (Bourse des Valeurs Canadiennes) sous le symbole SX, sur l’OTC aux États-Unis sous le symbole SXOOF et sur la Bourse de Francfort sous le symbole 85G1.

Consultez le site Web de la corporation : www.stgeorgesecomining.com

Pour toute information supplémentaire ou questions : [email protected]

La Bourse des valeurs canadiennes (CSE) n’a pas examiné ce communiqué et n’accepte aucune responsabilité quant à la pertinence ou à l’exactitude de son contenu.

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